Expositions passées

Du train au RER

13 juin 2009 - 24 octobre 2009

À l'occasion du 150e anniversaire de la ligne de la Bastille (1859) et en partenariat avec la RATP, le musée de Nogent-sur-Marne présente une exposition consacrée au Train en banlieue. Elle évoque Paris (en raison de la Petite Ceinture) et ses départements limitrophes. La présentation permet de se promener d’un réseau à l’autre (Est, Ouest, Nord, Paris-Orléans, Paris-Lyon-Méditerranée, Grande Ceinture), en déclinant différents thèmes.


Cavanna raconte Cavanna

15 novembre 2008 - 31 mai 2009

Divers documents sont consacrés à la jeunesse de François Cavanna dans les écoles de Nogent : photographies (notamment les fêtes costumées de fin d’année), cahiers et devoirs déjà illustrés par le futur dessinateur, récompenses et objets. Photographies et plans décrivent la rue Sainte-Anne où Cavanna passa son enfance et qu’il peignit de façon si vivante dans « Les Ritals ».


Banlieues en cartes postales

10 novembre 2007 - 1 juin 2008

Dans une première partie, l’exposition du musée de Nogent-sur-Marne évoque l'histoire de la carte postale : sa fabrication est expliquée, ainsi que son succès dès la Belle Epoque.


Collections d’histoire, histoire de collections

15 novembre 2006 - 27 mai 2007

Le musée d'histoire locale est souvent un musée d'histoire de la ville. Mais il peut parfois développer un propos plus large. Le musée de Nogent en est un exemple. Créé en 1961, le musée " du vieux Nogent " est un musée d'histoire locale. Les fondateurs poursuivent la collecte des témoignages sur le passé de Nogent : souvenirs du monde rural, portraits des personnages célèbres.


Fêtes en banlieue

29 mai 2005 - 28 mai 2006

Nombre de fêtes ont pour origine les foires, où les saltimbanques officiaient à côté des marchands. Les  fêtes de corporations, telles la Saint-Vincent (fête des vignerons) et la Saint-Fiacre (fête des horticulteurs) ponctuent la vie du village.Le carnaval, organisé à Mardi Gras ou à la Mi-Carême, avec la promenade du bœuf gras et l’élection de la reine des blanchisseuses connaît vers 1880, un regain d’intérêt qui s’inscrit dans une recrudescence générale des fêtes (14 juillet, réception de monarques étrangers, départ des conscrits).