Expositions passées

Expositions universelles et coloniales

01-11-1999 10:53 Par Adel MHARI Lire la suite

13 novembre 1999 - 29 février 2000

Les expositions universelles, qui se différencient des expositions régionales, nationales ou spécialisées, trouvent leur origine dans les expositions industrielles du 18e siècle. C’est en 1798 que François de Neufchâteau, Ministre de l’Intérieur (et propriétaire du château du Perreux) organise en France la première manifestation de ce genre. Il s’agit, dès l’origine, de stimuler les industriels par la présentation des nouvelles découvertes, celles-ci faisant l’objet de récompenses afin de favoriser la concurrence.

Avirons et pagaies

01-04-1999 15:32 Par Adel MHARI Lire la suite

3 avril 1999 - 31 octobre 1999

L'exposition évoque l'histoire des sociétés nautiques depuis leurs origines au 19ème siècle jusqu'à nos jours. Plusieurs sociétés centenaires et clubs plus récents partagent la rivière dans un environnement privilégié.

Artistes au front (1914 - 1918)

01-11-1998 13:45 Par Adel MHARI Lire la suite

8 novembre 1998 - 31 janvier 1999

A l'occasion du 8Oème anniversaire de l'armistice de 1918, le Musée de Nogent-sur-Marne (Val- de- Marne) présente une exposition sur la Première Guerre Mondiale. Une centaine de dessins, aquarelles, gravures et documents d'époque y seront exposés.

Le Tour de Marne

01-03-1998 14:56 Par Adel MHARI Lire la suite

14 mars 1998 - 25 octobre 1998

Un tour de Marne en 1865 : Cette année là, le journaliste Emile de la Bédollière se lance dans l'exploration du « tour de Marne », qui désigne ici les différentes boucles que forme la Marne dans l'est parisien. Accompagné par le photographe Ildefonse Rousset, il publie son reportage dans l’ouvrage Le Tour de Marne. Un coup de projecteur sur ce témoignage exceptionnel.

Les halles de Paris à Nogent

01-11-1997 09:46 Par Adel MHARI Lire la suite

8 novembre 1997 - 12 février 1998

Le marché des Halles est alimenté par toutes les provinces de France. Il dure de 4 h du matin à 10 h. Les producteurs qui n’ont pu vendre toute leur marchandise quittent leur emplacement avec mille difficultés. Dès minuit, les voitures maraîchères, arrivant de la banlieue, s’entassent.